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Lulu en camp volant

Des nouvelles d'Isidore

30 Octobre 2013, 14:04pm

Publié par luluencampvolant

Cher Lulu et Maggy !

Nous sommes très heureux d'avoir de vos nouvelles et de voir les photos de votre promenade de Dimanche.

Nous sommes assez bien, faisant des efforts pour survivre au milieu d’une époque très difficile pour tous ici..

En juillet  nous étions invités à Donkey Sanctuary à Manchester dans un grand centre d’Asino-thérapie qui est très intéressé pour nous aider faire la même chose ici.

Maintenant nous faisons des démarches administratives. La deuxième semaine d’octobre un membre de Donkey Sanctuary viendra ici,  parler de notre projet et envisager la possibilité de nous aider et de quelle manière.

Les ânes sont très bien. On continue de faire des promenades avec des enfants. Nous les  entrainons à marcher près de nous et de s’arrêter sur commande,  trotter, même sauter ou rester sans bouger . Elles sont très douces et gentilles avec tous, spécialement les petits enfants.

Quant à Isidore, il est merveilleux.  Il va très bien avec nos ânesses. Il fait comme s’il était leur protecteur, (plus attaché à Lili )  il est bien habitue à la vie chez nous. Il est en très bonne forme.  Il a vraiment très bon caractère, très gentil et doux . Nous sommes très attachés à lui..
Mais pour lui, à cause de son âge, c’est mieux de le laisser travailler comme il a l’habitude.
Alors,   je profite de l’occasion pour vous demander tout ce que nous ne savons de lui

 

04s

 

Que sait-il faire? Qu’est-ce qu’il déteste faire ? On comprend qu’il sait tirer  la charrette. Il est attentif aux ordres : il marche ou reste sans bouger. Mais il y a plusieurs choses que vous pouvez peut-être nous informer .

Après les fortes chaleurs, nous l’avons vu pour la première fois courir avec les ânesses, chose qu’il ne faisait pas jusque-là, ce qui veut  dire qu’il semble très bien. Vendredi passé ils ont tous fait des vaccins, et c'était très drôle de voir qu’Isidore avait peur de la vétérinaire, comme un grand bébé !

 

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    On pense toujours à vous avec les meilleurs sentiments !

Amicalement
Tatiana- Dimitris

 

    Note de l'administrateur : des problèmes informatiques m'ont limitée dans la publication de cette lettre reçue depuis un mois. Vous pouvez retrouver les photos d'Isidore à Koropi dans l'album créé à cet usage : Clic ici !

 

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Le soleil ne se lève pas rien qu'à l'Est

30 Octobre 2013, 13:37pm

Publié par luluencampvolant

Samedi 26 octobre 2013 à Dampierre

 

 

 

Durant tout mon voyage au pas de l’âne Isidore et de l’ânesse Joséphine, de Dampierre à Bethléem, j’ai aimé me réveiller tôt le matin pour contempler le lever du soleil.

 

Je cherchais à laisser la petite fille Espérance souffler sur les braises de mon cœur, surprendre, entendre et voir le vent de la Liberté soulever des témoins de justice et des artisans de paix dans les peuples opprimés des pays que je traversais.

 

A plusieurs reprises, j’ai découvert que le soleil ne se levait pas rien qu’à l’est.

 

La lumière illuminant nos vies arrivait par des hommes et des femmes que nous ne soupçonnions pas et à des moments et en des lieux que nous n’attendions pas.

 

Je sens que le ruisseau de la petite fille Espérance se faufile entre ses deux grandes sœurs : la Tendresse et la Confiance, afin qu’aucun blessé de la vie ne soit laissé de côté.

 

Je voudrais partager avec vous ce que ces témoins m’ont fait découvrir, ne m’autorisant pas à garder rien que pour moi de tels trésors.

 

L’étau qui enserre et enferme les Israéliens autant que les Palestiniens, peut se desserrer et se décoincer par des événements et des gens que l’on attend pas.

 

Le 17 juin de cette année, j’avais conscience de n’avoir fait que de toucher au but de mon voyage en entrant dans Bethléem.

 

Il me restait à laisser entrer le souffle de Bethléem en ma vie, dans ma conscience et dans mon comportement.

 

L’état d’Israël ne m’autorisant à rester que jusqu’au 30 juin, je décidais de revenir en Palestine-Israël du 10 au 23 octobre avec un groupe d’amis, membres d’une association tissant des liens de solidarité et d’amitié entre la France et la Palestine.

 

Ce voyage de douze jours renforçat ce que j’avais découvert au mois de juin.

 

A mon retour de Bethléem le 24 octobre, mon sac à dos pesait très lourd.

 

sac

 

En déballant les affaires qui étaient dedans et en sortant de ma tête et de mon cœur ce que j’y avais entassé, j’ai eu l’impression que je ne déposais qu’un tas de misères sur la table de la cuisine de notre maison familiale à Dampierre.

 

Je revoyais le mur en béton interminable, qui, tel un immense serpent enferme le peuple palestinien dans des conditions de vie non humaines.

 

Mur.jpg 

 

Je me disais tout en faisant ce déballage, que les dirigeants politiques Israéliens qui font ériger ce mur en disposant dans les miradors leurs fils et leurs filles comme gardiens de cet apartheid s’emprisonnent eux-mêmes dans une attitude insoutenable et intenable.

 

Ils barrent la vue à leurs petits enfants et les empêchent d’envisager qu’un autrement soit possible.

 

En même temps que les images de rideaux de fils de fer barbelés électrifiés revenaient abîmer mon regard, je réentendais très souvent des Palestiniens et Palestiniennes nous dire : «  Ici, en territoire palestinien c’est l’occupation que nous subissons. Elle déchire nos relations »

 

Quand nous nous déplacions avec les amis du groupe , sous la responsabilité de guides et de témoins, ce qui arrêtait nos regards en plein Jérusalem et Bethléem, comme ce qui barrait nos routes quand nous voulions aller à Hébron, Kalkilia, Tulkarem, ou Jéricho, c’était au chek-point la présence de jeunes soldats de 20 ans, aussi bien jeunes filles que jeunes garçons.

 

Ça giflait ma figure et ça intensifiait le déchirement qui travaille ma conscience. Parce que ça me rappelait que : « J’ai eu 20 ans dans les Aurès » et que moi aussi j’ai fait partie d’un peuple qui occupait un pays qui n’était pas le mien : l’Algérie. Tout cela me bouleversait.

 

Dans l’enfer-mement d’Hébron, lorsque je voyais des jeunes soldats fouiller les cartables de gamins se rendant à l’école, lorsque dans un quartier de Jérusalem : Sheik-Jarrah, j’entendais des pères et mères de famille nous expliquer comment les colons profitent d’absences prolongées d’hospitalisations pour envahir le quartier.

 

Ils s’installent dans certaines maisons de Palestiniens occupant la partie avant de la maison, alors que la famille palestinienne (qui nous accueille) habite dans la partie arrière.

 

Ils cherchent souvent un événement religieux pour justifier de telles exactions.

 

Ici à Sheik-Jarrah, la raison invoquée par les colons Israéliens pour expulser les Palestiniens, c’est le fait que la tombe de Simon le Juste, sage d’Israël, vivant au 3ème siècle avant Jésus-Christ se trouverait pas loin d’ici.

 

Cela leur donne droit, disent-ils, à ce que ces lieux leurs reviennent historiquement, c’est la colonisation.

 

Je voudrais vous dire ce que ça m’évoquait.

 

Je revoyais les femmes avec leurs enfants dans les bras, les vieillards, que nous avons brutalisés, se faire vider de leurs mechtas, poussés et parqués, tels des troupeaux de bestiaux et enfermés dans des camps de regroupement, durant les années 1959-1960.

 

C’était sous les ordres de généraux étoilés de l’armée française.

 

Eux-mêmes avaient reçus pleins pouvoirs d’une république qui se voulait détentrice des Droits de l’Homme. Et je voyais qu’entre Palestine et Israël se renouvelait ce que nous avions fait entre l’Algérie et la France.

 

J’ai été scandalisé d’apprendre à Bethléem que des Palestiniens ayant une grande famille à nourrir en étaient réduits à trouver en Israël des travaux qui contribuent à ériger le mur qui les mets en enfer-mement.

 

Je me suis rappelé ce que l’on a fait faire d’odieux aux algériens que nous avons enrôlés dans notre armée en tant que harkis.

 

Lorsqu’ à Bethléem, sous la responsabilité de guides éduquant nos regards nous sommes entrés dans les camps de Aïda et de Deishe, on a appris que ces camps avaient été institués depuis plus de 40 ans. Des milliers de gens y sont encore, attendant désespérément leur droit « au retour » dans leur village.

 

J’ai repensé aux harkis qui avaient échappés aux massacres perpétrés à leur égard en Algérie et que pendant des années nous avons parqués dans des camps à travers le Midi de la France après 1962.

 

J’en étais à me dire : « Tu ne vas quand même pas ramener et rapporter que ce tas de misères que tu sors de ton sac et de ta conscience »

 

C’est alors que j’ai pensé à ouvrir, vous savez la petite poche au fin fond du sac à dos où on dissimule et cache ce qui nous est le plus précieux : le passeport et les papiers auxquels on tient comme à la prunelle de nos yeux ou à la peau qui est sous nos pieds.

 

C’est alors que j’ai trouvé à côté du passeport ces paroles en actes toutes ruisselantes de vie tombées de la bouche de gens que nous avons rencontrés.

 

Souvent ce sont eux qui nous avaient accueillis, pris de leur temps et de leur pain pour nous recevoir,  nous communiquant ce qui fermente entre eux et en eux, ce qui les poussent à se fédérer, à aller à la rencontre les uns des autres.

 

Tout au fond de mon sac, j’ai trouvé une poignée de petites graines d’Espérance. Je souhaite avec vous les cultiver dans nos cœurs.

 

« Comment s’en sortir sans sortir ! »

 

Eh oui ! A Gaza personne ne peut entrer ni sortir. Décret de l’état d’Israël. En cet endroit d’enfer, de prison à ciel ouvert, nous apprenons qu’avec presque rien, des hommes et des femmes arrivent à se nourrir, à aller à l’école, à s’organiser et à résister de manière non violente.

 

Ils cherchent comment se sortir de cet étau qui les coince et de ces tenailles qui les enserrent, sans pouvoir se sortir de cet endroit.

 

Un médecin Gazaoui le Docteur IZZELDIN ABUELAISH écrit en s’appuyant sur le Coran : « Je ne haïrai point ». Ses 3 filles aînées et sa nièce ont été tuées dans leur maison pendant l’opération « Plombs durcis »

 

Au sud de Bethléem, à la Tente des Nations, nous lisons, peint sur un mur : « Nous ne voulons pas être ennemis » alors que l’état d’Israël veut leur prendre leur terrain pour le coloniser.

 

tente des nations 

 

Dans la ville d’Hébron, divisée en deux par une route et un mur séparateur, j’entends de la bouche de Rachid qui m’accueille dans sa maison : « Je ne supporte pas qu’il me soit interdit d’aller à Jérusalem parce que je suis palestinien, mais je pense que c’est l’attitude et l’action non violente qui seules peuvent user les violences que l’on nous fait. Nous savons depuis la 2ème Intifada, qu’il ne faut pas répondre à la violence par la violence, mais chercher à inventer des chemins de résistance »

 

Ne serait-ce pas du côté de la résistance non violente et de la résilience que le soleil est en train de se lever afin d’empêcher la construction du mur séparateur et la continuation de la colonisation.

 

Des ponts sont déjà en train de se créer sur ces sentiers de la non violence entre les peuples « Frères de sang »

 

Je vous partagerai plus tard ce que j’ai encore découvert en écoutant beaucoup d’autres témoins de l’action non violente, particulièrement Fayez à Tulkarem, Emilie à Bethléem, Issa dans la vallée du Jourdain, Michel W à Jérusalem et

 

à travers eux ce que j’ai entendu de la bouche même de Jésus sur la Montagne  de Galilée «  Bienheureux les pauvres en Esprit, bienheureux les artisans de Paix. Grâce à eux, la Terre est  à tous » 

 

Lulu

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Lulu retrouve Jérusalem

12 Octobre 2013, 21:27pm

Publié par luluencampvolant

Comme Lulu l'a annoncé dans sa précédente lettre, ce jeudi,  il est reparti avec un groupe en Israël et bientôt dans les territoires palestiniens.

 

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Dans les prochains jours, nous vous donnerons des nouvelles d'Isidore qui apprécie le vie en Grèce avec 2 ânesses, mais en particulier avec Lily sa préférée !

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Rendez-vous avec Lulu et ses amis

12 Octobre 2013, 21:19pm

Publié par luluencampvolant

affiche Jpg   

 

 

N'hésitez pas à faire connaître cette rencontre. D'autres rencontres s'organisent sur le Jura.

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Que le souffle de Bethléem change nos comportements...

4 Octobre 2013, 20:35pm

Publié par luluencampvolant

 

Dampierre le 24-09-2013

 

Vous vous souvenez chers amis, qu’en revenant de Bethléem, à la fin du mois de Juin, je vous avais partagé une découverte importante....

 

Je vous avais dit : «  je n’aurai jamais fini d’entrer à Bethléem, ou plutôt, je n’aurai jamais terminé, de laisser entrer en moi, le souffle de Bethléem ». C'est-à-dire que pour laisser s’élever notre humanité, la mienne et celle des autres, élever et éduquer nos enfants,  ou les enfants des autres qui nous sont confiés, il nous faut descendre, très profondément en notre humanité. Nous ne pouvons rester à la surface.

 

Qu’est ce que ça veut dire ? ça veut dire, me semble t’il, qu’à la manière et à la ressemblance de Jésus, nous sommes appelés à entrer en relation, en pourparler avec les gens qui sont en conflits. Il est important, de ne pas nous éviter, les uns les autres, de ne pas passer les uns à coté des autres, en nous ignorant, en nous méprisant, mais de nous laisser aborder les uns par les autres…

 

C’est en nous rendant là où il y a conflits, difficultés, risques d’explosion sociale, risques de guerre, en nous écoutant les uns les autres, que nous allons pouvoir désamorcer, ce qui risque de se casser, de se briser. C’est en nous faisant confiance les uns dans les autres, que nous découvrirons, nous nous découvrirons capables, d’être tous, les uns par les autres, des artisans de paix. Nous ne pouvons témoigner qu’un autrement est possible, que si nous sommes dans le réel de la vie. Nous ne pouvons offrir ou recevoir le témoignage d’une attitude non violente et le goût de s’y engager, que si nous appréhendons la situation conflictuelle.

 

C’est le réel qui est à considérer. Ce sont par les personnes bouleversées par leurs épreuves, ou habitées par des espérances, que nous nous sentons appelés à nous laisser toucher. Celui qui m’avait donné rendez vous à Bethléem, dans le lieu où il est né, il y a un peu plus de deux mille ans, m’a fait un peu plus comprendre, qu’il continuait de naitre, de venir au monde des exclus, à Bethléem, lieu d’enfer et d’humiliation, au pied de ce mur séparateur, de deux peuples frères, « frères de sang », comme dans beaucoup d’autres endroits de Palestine, d’Israël, et de la planète… C’est pour ça qu’avec tout un groupe d’amis de Besançon, voilà que nous nous dirigeons dans une quinzaine de jours, en ces lieux, Bethléem et d’autres, vivant le drame de la séparation, de l’injustice.

 

Voyager, aller, voir ailleurs, et pour nous rendre compte, prendre conscience, qu’à l’endroit de la planète où nous revenons, c’est aussi la foire d’empoigne, le royaume des préjugés, le forum des paroles assassines, et reniantes. C’est là où je reviens, où nous revenons, qu’il y a l’enfermement.  L’enfer est chez nous…

 

C’est bien là que nous revenons, dans ce réel, qu’il nous faut descendre,  essayer de modeler nos attitudes, sur celles de celui qui a dit,  et qui a fait ce qu’il a dit, celui qui a dit «  je ne suis pas venu juger le monde mais je suis venu pour le sauver ».

 

C’est un p’tit peu tout ça que nous nous sommes raconté, redit, réinsufflé les uns aux autres, tous ces jours à Dampierre, en vivant des partages d’espérance, en notre humanité, à partir de ce que réellement nous vivons, les uns, et les autres.

 

Il y avait, Jeannot et Béa, Alice, Bernadette, et nous avons vu arriver Adeline, Maggy, et Bernard et leurs petites filles Allissia et Noémie, Gilles le frère de Maggy, Hervé, Daniel, Christophe et Nadia et leur fille Soumaya, Pierre et Michelle (amie journaliste), Annelyse et Roland, Laurence et son mari et sa sœur, et beaucoup d’autres amis.

 

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Nous ne nous y attendions pas, mais nos cœurs étaient tout prêts à nous attendre, les uns les autres, à tendre les uns vers les autres.

 

Nous avons cheminé le long du chemin du halage, aux pas des ânes, Gamin et Grisette. Nous avons fait mémoire du dernier chemin emprunté par l’âne Isidore, de ce qu’il concourt à libérer dans l’être d’enfants en difficultés, au sein d’une association. Nous avons écrit à Tatiana et à Dimitri, et à leur fille Myrto, nos amis grecs de KOROPI, au sud d’Athènes, et nous avons reçu une lettre très belle que nous mettrons aussi sur le blog, où nous découvrons, ce qui est en train de se créer, et grâce à Tatiana et Dimitri et à beaucoup d’autres, qui rendent possible, que des enfants partent en vacances et se mettent à marcher aux pas des ânes, Isidore et deux ânesses, Lili et une autre,  et ainsi, et eux aussi, devenant artisans de paix, rendant possible que soit créé des temps de repos, de paix, de joie, pour des enfants. Car, en raison de la crise, ils n’ont pas la possibilité d’y accéder.

 

Nous avons appris et décidé que la fabrication du jus de pommes allait continuer, avec les enfants des écoles de Dampierre, de Ranchot, les jeunes du MRJC de Franche Comté, les amis des foyers Gevot et Emergence, de Dole, d’Orchamps, et on s’est dit que nous essaierions  de nous rendre le plus nombreux possible, à la fête de la vie à Orgelet, ce dimanche 29 septembre 2013. Parce que, c’est dans ces bouts de chemin, traits d’union, réalisés grâce aux autres, que nous nous sortirons de nos chagrins, des injustices, qui nous accablent…

 

Des situations où on a l’impression que c’est impossible, c’est ainsi que nous allons pouvoir nous en sortir, les uns grâce aux autres, et faire en sorte, que, le souffle de Bethléem change nos comportements. Là où nous sommes, dans l’enfer où nous vivons, pour que nous nous en sortions et que nous accédions à la lumière de l’espérance, remettons-nous à suivre la petite étoile, qui vient de réapparaitre sur nos chemins. Elle nous indique le chemin de l’action non violente, comme plein de témoins, qui nous ont précédés,  à la suite de Jésus, Gandhi, Tolstoï, Martin Luther-King, Jean Marie Muller, les sœurs Alice Domont, Léonie Duquet, les moines de Tibhirine, Gaby Maire, et combien d’autres artisans de paix, dans les pas desquels, nous avons soif de mettre nos pas.

 

Coucou.

 

A la revoyotte.

 

Lulu

 

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