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Lulu en camp volant

Un bel anniversaire !

28 Mars 2017, 07:46am

Publié par luluencampvolant

Hier 27 mars 2017, en l'honneur des 80 ans de notre Président*, sur France Culture, émission sur le désarmement Nucléaire à 18 heures, lié à la réunion à l'ONU des pays favorables au désarmement.

 

*Lulu est président de ADN-MANV (Association franc-comtoise pour le Désarmement Nucléaire unilatéral de le France, avec le Mouvement pour une Alternative Non-Violente)

 

3 intervenants, 2 pour l'arme nucléaire,

Corentin Brustlein : Chercheur, responsable du Centre des études de sécurité de l'Ifri et du programme "Dissuasion et prolifération"

François Géré : Historien, spécialiste en géostratégie, président fondateur de l’Institut français d’analyse stratégique (IFAS)

1 contre,

Jean-Marie Collin : Chercheur associé auprès du GRIP, directeur France de l’organisation PNND,

Intéressant pour comprendre l'argumentaire en faveur de la dissuasion.

 

Le chemin sera long et rude pour inverser la tendance majoritaire...

Merci Antoinette pour ce partage.

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Mobilisons-nous contre les préjugés

22 Mars 2017, 07:48am

Publié par luluencampvolant

Mobilisons-nous contre les préjugés

 

Depuis 70 ans, le Secours Catholique agit pour construire une société juste et fraternelle.

Aujourd’hui, en cette période électorale, cette association lutte contre les préjugés sur l’accueil de l’étranger.

La question de la migration prend de plus en plus d’ampleur dans les débats politiques et dans les discours médiatiques. Malheureusement certains de ces discours véhiculent des idées souvent fausses.

C’est dans ce cadre que le Secours Catholique a lancé une démarche itinérante à travers un « bus plaidoyer » qui sillonnera toute la France du 9 mars au 30 avril 2017. Il sera en Franche-Comté du 22 au 25 mars.

 

Le bus près de chez vous

 

Au cours de ces quatre jours, plusieurs animations sont prévues.

Des rencontres avec des élus locaux autour de témoignages de migrants seront organisées dans le Doubs, le Jura et le territoire de Belfort.

Nous vous invitons à participer à cette action et à partager cette information autour de vous.

Pour tous renseignements, un clic ici, et pour le Jura, voir ci-dessous.

 

Mobilisons-nous contre les préjugés

 

Pour le Jura

Mobilisation Citoyenne le 25 Mars, sur la Place de la Chevalerie à Lons-le-Saunier.

De 08h à 18h, des acteurs du Secours Catholique animeront des rencontres autour de la lutte contre les préjugés.

Au programme de cette journée :
08h 00 : Aminations de rue autour du Bus
11h 00 : Marche fraternelle
12h 30 : Repas tiré du sac - Chapelle Saint Luc- 1, rue des Baronnes.
14h 00 : Représentation théâtrale avec le groupe "page 27" : Itinéraire d'un migrant.
15h 00: Forum-Débat avec les candidats aux élections législatives en présence de Bernard Thibaud, Secrétaire Général du Secours Catholique - Caritas France. 

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Plantation d'un 4ème Ginkgo à Pesmes

20 Mars 2017, 11:00am

Publié par luluencampvolant

La plantation du Ginkgo Biloba - 4  

 

aura lieu à Pesmes le samedi 1er avril 2017 à 11 heures.

 

Venez nombreux pour porter ce message d'espoir, 
le refus de la violence implique de s'engager visiblement dans la non-violence, et pour nous, dans la volonté de désarmer la France.

les ginkgos de Dampierre, Saint-Maur et Saligney
les ginkgos de Dampierre, Saint-Maur et Saligney
les ginkgos de Dampierre, Saint-Maur et Saligney

les ginkgos de Dampierre, Saint-Maur et Saligney

Pour en savoir plus sur la plantation des Ginkgos Biloba par ADN-MAN, cliquez sur le tag 

Ginkgo Biloba

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"J'aime bien être amie avec tout le monde" (Diana 10 ans)

6 Mars 2017, 22:32pm

Publié par luluencampvolant

Dampierre, mardi 13 décembre 2016

 

C'est grâce à Marie-Emmanuelle 6 ans, que j'ai fait connaissance avec Diana, 10 ans. « Elles sont toujours ensemble », dit la grand-mère de Diana.

 

Un jour de cet été 2016, alors que nous préparions avec les amis du groupe ADN-MANV l'inauguration de la plantation du Ginkgo Biloba, que nous avions fixée le 6 août (anniversaire bouleversant de l'éclatement de la bombe à Hiroshima), ces deux filles me disent : « Est ce qu'on pourrait mettre de l'eau sur les pieds du petit arbre ? » Diana et Marie-Emmanuelle avaient dû voir et remarquer comment Alain, Jeannot et moi nous avions le souci d'arroser et irriguer les pieds du petit Ginkgo Biloba, depuis que nous l'avions planté. Peut-être nous avaient-elles un jour ou l'autre, accompagnés… et regardés … et nous n'avions pas pris le temps de leur proposer que ce soient elles qui versent l'eau sur les pieds du petit arbre… Et voici que ce jour, avec un regard aussi limpide et pur que l'eau qu'elles désiraient déposer sur les racines du petit Ginkgo Biloba, elles me disent : « Est-ce que nous, on pourrait mettre de l'eau sur les pieds du petit arbre ? »

 

Grandes personnes que nous sommes ou que nous croyons être, pourquoi ne sommes-nous pas spontanément les « facilitateurs » que les enfants attendent que nous soyons ?

« C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante »

Pourquoi paraissons-nous toujours si pressés aux yeux des enfants ? Pourquoi ne rendons-nous pas possible que ce soit eux, les enfants, qui « fassent »… « réalisent »… et « créent » ?

 

Ce jour-là, je me laissai toucher et marquer par le regard et la parole de ces deux petites filles.

 

Jusqu'à ce jour, je les avais rencontrées très souvent lorsqu'elles allaient à l'école du village ou en revenaient. Nos rencontres avaient été ponctuées par de simples salutations. Désormais, le croisement de nos chemins n'allait plus être des rencontres sans importance. Il s'était passé quelque chose de très fort, quand, sur leur demande, j'avais apporté deux petits seaux d'eau... que j'avais déposés tout près du petit Ginkgo Biloba. Ainsi ce n'était pas trop lourd ni difficile à porter par elles. J'avais laissé et fait en sorte, que ce soient elles qui versent l'eau sur les pieds du petit arbre. Chacune d'elles, à la ressemblance du Petit Prince, s'étaient mises au service d'une cause commune pour notre humanité. Le petit Ginkgo Biloba était devenu leur arbre, sans exclure du tout, qu'il puisse continuer d'être le nôtre. Plus que ça ! Le petit arbre était apparu celui de tous, parce qu'il était devenu le leur. Ce qui se passait grâce à elles, rayonnait sur tout le monde. Nous avions lu ensemble le petit panneau que nous avions inséré aux côtés du petit arbre.

"J'aime bien être amie avec tout le monde" (Diana 10 ans)

Quand je marchais dans les rues du village de Dampierre en compagnie d'amis venus le voir et que nous rencontrions Marie-Emmanuelle et Diana, j'étais heureux de les présenter à mes amis en disant: « Voici les deux grandes filles qui prennent soin du petit Ginkgo Biloba, en mettant sur son terrain d'enracinement, l'eau dont il a tant besoin." Il se passait chaque fois quelque chose de très beau : la reconnaissance de qui sont les enfants par nous adultes, mais aussi, l'estime des adultes par les enfants, la découverte que les uns et les autres ont beaucoup à donner aux autres, mais aussi et surtout, beaucoup à recevoir les uns des autres.

 

Il me revenait la parole de l'artisan par excellence de la création des liens entre les humains, mais aussi de l'apprivoisement des humains par les animaux, les végétaux, et tout ce qui pousse à la surface de la terre: « Je vous ai envoyés ramasser, là où d'autres ont plantés »

 

Et voilà qu'un jour d'automne, alors que je suis de retour de la Fin Basse où j'étais allé contempler le lever du soleil, passant devant l'école de Dampierre un peu avant 8 heures et demi, des enfants accourent pour venir me saluer...

Et parmi tous ces enfants, Marie-Emmanuelle et Diana ... ce jour-là, Diana me dit : « Dans ma classe notre institutrice nous demande de choisir, d'interviewer quelqu'un qui est important pour nous. Il y a une liste avec des noms, il y a ton nom. J'ai dit que j'aimerais bien t'interviewer, est-ce que tu serais d'accord ? »

Lucien : « Je suis très touché de la démarche de votre institutrice et de la tienne. Je te répond : Oui, tout de suite ! »

Diana : « J'ai déjà préparé mes questions. »

Lucien : « Je prendrai tout le temps qu'il faudra pour y répondre. »

Diana : « J'ai écrit les questions que je veux te poser sur une feuille de cahier. »

Lucien : « Je ne vais pas te demander maintenant quelles sont tes questions. Je serai heureux de les découvrir quand on fera l'interview. »
Et j'ajoute :

Lucien : « L'endroit de l'interview pourrait-il être chez Marie-Emmanuelle ? Veux-tu en parler avec ta famille ? »

 

Diana est radieuse que nous envisagions de réaliser cet interview et Marie-Emmanuelle aussi. L'une et l'autre le signifient par un merveilleux sourire.

Et j'ajoute encore.

Lucien : « Ça me touche d'être pour vous, dans l'école, quelqu'un d'important, mais je voudrais que vous gardiez ce que je vais vous dire : Pour moi, à mes yeux, vous êtes tous et chacun, quelqu'un de très important, vous Diana et Marie-Emmanuelle, vos frère et sœur, vos parents, vos institutrices et instituteurs et tous vos camarades... »

 

Quelques jours plus tard, je rencontre Diana chez Marie-Emmanuelle. La maman de Marie-Emmanuelle, Agnès, me dit : « Ta famille, n'est-ce pas, Diana, est très contente que Lulu réponde à l'interview que tu lui as demandé. Mais ta grand-mère serait ravie que l'interview se fasse chez elle. »

Lucien : « Je me réjouis de cet artisanat et travail de dentelière que vous réalisez, afin que nous vivions cet interview »

 

La rencontre est prévue pour samedi 10 décembre. Mais voilà que j'apprends la mort d'un ami de Foncine-le-Haut, Jean-Daniel Senot. Je vais à l'enterrement mais je ne préviens que tardivement le soir Diana et sa famille par la médiation d'Agnès que je n'ai pas pu me rendre à l'interview ce samedi après-midi comme convenu. Je présente mes excuses. Il nous faudra trouver un autre jour.

Chance ! Tout va se rattraper ce mardi 13 décembre. En effet j'aperçois Diana et Marie-Emmanuelle en train de jouer à côté du petit Ginkgo Biloba. Je les salue et leur propose d'arroser les pieds du petit arbre. Leurs mines sont réjouies. Je dis : « Est ce que nous pourrions réaliser l'interview maintenant ? »
Diana: « Je vais voir ma grand mère et je reviens. »

 

Gilbert et Ginette ainsi que Alain et Véronique, avec qui nous venions de mettre à l'abri les derniers stères de bois d'affouage sont ravis de me voir partir vivre cet interview avec Diana et Marie-Emmanuelle. En effet, ils ont été plusieurs fois témoins des soins que ces deux grandes filles prodiguaient à l'égard du petit Ginkgo Biloba.

"J'aime bien être amie avec tout le monde" (Diana 10 ans)
"J'aime bien être amie avec tout le monde" (Diana 10 ans)

Quelle joie de nous retrouver avec Diana et Marie-Emmanuelle chez la mamie de Diana. Diana est en CM2, elle est née en 2006. Marie-Emmanuelle est en CP, elle est née en 2010.

Lucien : « Raconte-moi Diana, comment c'est venu cette belle histoire d'interview. »

Diana : « Notre institutrice voudrait qu'on apprenne à parler devant nos camarades en classe. Elle nous a dit un jour : « Voici une liste de gens importants pour nous. Choisissez celui que vous voulez. Vous aurez à le présenter devant vos camarades en classe. » « Elle nous a donné une liste. Quand j'ai vu ton nom dans la liste, j'ai dit : Je vais faire un exposé sur toi. J'aurais pu aller sur ton blog. Mais je me suis dit, je vais l'interviewer. Pour moi, c'est une chance de faire une interview avec toi. »

Lucien : « Eh bien pour moi, d'être interviewé par toi c'est un grand bonheur. J'en suis très touché. Et je te redis ce que je t'ai dit l'autre jour Diana : Vous êtes tous et chacun, quelqu'un de très important à mes yeux. »

 

Et Diana commence à me poser des questions qu'elle lit sur son cahier. Elle me demande ma date de naissance, où je suis né, où j'ai grandi… et où j'ai vécu mon enfance. Nous constatons que mon enfance a été vécue là où Marie-Emmanuelle et elle Diana, vivent la leur. Souvent, depuis l'endroit où elles habitent, elles gravissent la côte, pour venir jouer sur ce beau terrain communal que l'on appelait dans mon enfance « le vieux cimetière ». De ce champ des morts, elles continuent ce que nous en faisions, avec mes sœurs, mon frère et nos camarades, un champ de création et de recréation. Elles continuent de faire de ce champ des morts, le champ de la vie, du jeu de la fraternité avec leurs camarades.

Lucien : « Il n'est pas étonnant que ce soit là que nous avons planté le petit Ginkgo Biloba et que ce soit vous qui l'arrosiez. Tout ça, pour continuer à nous défaire de nos violences en faisant de la place dans nos jeux à ceux qui n'en n'ont pas. »

Diana : « Veux-tu me dire Lulu, où tu as été à l'école quand tu étais enfant. »

Lucien : « C'est dans la même école que vous que j'ai appris à lire, à écrire et compter … dans cette école-là, où vous-mêmes vous apprenez à lire, écrire et compter. J'ai aimé aller à l'école publique de mon village. J'appréciais beaucoup mes maîtres d'école. Encore aujourd'hui je les vénère pour ce que, en union avec mes parents, ils m'ont appris à découvrir de la beauté de la vie... C'est dans cette école aussi, que j'ai appris à ne pas laisser de côté les copains qui traversaient de durs moments et des choses difficiles... C'est par mes maîtres avec qui mes parents venaient causer, c'est grâce à eux ensemble, que j'ai découvert combien c'était passionnant de développer de toutes nos forces ce que la vie a déposé en chacun de nous. Ainsi, nous pouvons mieux l'offrir aux autres et recevoir d'eux les trésors qui les habitent eux aussi et qu'ils veulent nous donner. »

 

Voilà un petit peu comment j'essayais de répondre aux questions que Diana me posait et qu'elle avait écrites sur son cahier. J'étais étonné par la façon dont elle me questionnait et aussi par la manière vive dont elle récoltait et écrivait ce que je disais. C'est alors qu'arriva de sa part la question suivante. Etait-elle écrite sur la feuille de son cahier ? Je n'en sais rien. Je n'en ai pas l'impression.

Diana : « Qu'est ce qui t'a marqué le plus dans ta mémoire ? »

Lucien : « C'est quand j'ai vu des enfants abimés par la guerre en Algérie. Je ne pouvais pas supporter. Je me suis engagé dans mon cœur, à faire tout ce que je pouvais avec d'autres amis, pour arrêter la guerre, comme on pouvait, là où on était. Je voulais rendre possible que les enfants que je rencontrais, aillent à l'école, que leurs parents aient du travail, et qu'ils puissent donner à leurs enfants un beau logement lumineux … Que les enfants puissent jouer beaucoup avec les autres, qu'ils puissent s'amuser et qu'ils découvrent que c'est comme ça qu'ils sont des bâtisseurs de paix. Pour arriver à cela, il faut que nous les adultes, nous arrêtions de fabriquer et vendre des armes.

 

Devant la façon dont Diana me pose ces questions et la manière dont elle ramasse ce que je luis dis en l'écrivant sur les feuilles de son cahier, je dis à Diana : « Que penses-tu faire comme profession un jour ? Peut-être que tu as déjà une idée ? »

Diana : « Je voudrais être coiffeuse… »

Lucien : « Oh, c'est beau comme métier ! Est-ce que ça t'es déjà venu aussi de vouloir devenir journaliste ? Je te dis ça, c'est parce que je vois la vivacité avec laquelle tu nous fais réaliser cet interview. »

Diana : « J'ai pensé être journaliste car je voudrais interviewer tous les gens qui sont connus et célèbres... »

Lucien : « Tu es sans doute quelqu'un qui aime lire ! »

Diana : « Oui , je vais à la médiathèque. »

Lucien : « En continuant à lire et à écrire comme tu le fais, tu te prépares à être journaliste ou à faire un autre métier… Celui de ton choix. »

Diana : « Je suis heureuse de t'interviewer. »

Lucien : « Tu deviens toi aussi bâtisseuse de la paix. »

Diana : « Pourquoi se faire la guerre ? Ça sert à rien, il faudrait se pardonner entre pays pour qu'il n'y ait plus de bébés morts, d'adolescents morts. Ils méritent d'avoir la vie.

Nous, on vit beaucoup, et pas eux … Et tous ces migrants qui sont obligés de quitter leur pays à cause de la guerre ! »

 

Lucien : « Qu'est-ce que je suis marqué de pouvoir causer comme ça avec toi, Diana. Je voudrais que tous les enfants de la terre puissent faire ce que tu fais : interviewer un adulte, écouter ce qu'il dit, mais aussi que l'enfant puisse dire à l'adulte ce qui est au fond de son cœur, comme tu es en train de le faire à mon égard. Il en existe, mais il en faudrait encore d'avantage. »

Diana : « C'est grâce à mon papa que je pense que la guerre n'est pas bien, qu'on doit arrêter de se faire la guerre pour rien ! Je pense aux enfants qui sont malheureux dans des pays qui sont en guerre. C'est pas eux qui l'ont déclenchée. Ils voudraient bien que ça s'arrête. Nous on aimerait pas vivre la guerre. Je me mets à leur place, c'est horrible pour eux. C'est comme si tout éclatait vers eux… »

Est arrivé le moment où l'interview que Diana a initié se poursuit de manière réciproque.

Lucien : « Pour moi c'est un grand moment que nous vivons chez vous, mamie de Diana. Votre petite fille Diana a eu l'idée de réaliser cette interview. Merci à sa grande sœur qui a pris des photos. C'est très beau ce que l'institutrice de ta classe, Diana, a suscité… Et je sens comment tes parents vont être heureux, eux aussi , que de tels moments se vivent chez eux »

Diana : « Pour moi aussi, c'est un moment très important. Je me disais : « Enfin, il vient ! »

Lucien : « Diana, avec Marie-Emmanuelle, vous êtes fabricatrices de la paix, et vous nous mettez tous dans le coup. »

La Mamie : « Diana, ma petite fille s'entend avec tout le monde. »

Diana : « Dès que je suis arrivée dans l'école, j'ai dit à tout le monde que j'étais leur amie, parce que j'aime bien être amie avec tout le monde. »

« C'est pas la différence d'âge qui fait, on peut être ami avec tout le monde. »

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A vos agendas !

2 Mars 2017, 08:22am

Publié par luluencampvolant

Beaucoup de sollicitations en ce mois de mars...

 

Avec les cercles de silence dans le Jura :

 

Ce samedi 4 mars aura lieu le 100ème cercle de silence à Dole. Venez nombreux participer à ce cercle, place du 8 mai entre 10h et 11h.

Avec les pelotes de laine, les participants tisseront une toile de fils symbolisant le lien entre les hommes, la solidarité...

A 11h, ce sera le temps de sortir du silence et de partager et les mots, et les gâteaux, et le jus de pomme.

 

Le lundi 13 mars à partir de 20 h 15, RDV aux Arquebusiers à Dole pour un temps qui permettra d'avoir des informations sur la réalité des demandes d'asile en 2017, sur les réalités locales que vivent les associations qui se mettent aux services des familles (CADA / CPDA / ACR) mais aussi de redire les objectifs visés par le cercle de Dole.

 

Comme chaque 2ème samedi du mois, un cercle de silence se forme à Poligny, le prochain a lieu le samedi 11 mars 2016 de 10 h à 11 h devant le lycée Friand à Poligny.

 

Le vendredi 17 mars, un cercle spécial est organisé à Lons-le-Saunier à 16 h (Place de la Comédie) avant de se rendre devant la préfecture vers 16 h 45 pour avoir vers 17 h une audience avec Monsieur Le Préfet du Jura. Sympathisants de Lons et du Haut-Jura, engagés dans le défense des droits de l'homme,venez nombreux !

 

A vos agendas !

Avec le groupe A.D.N.-M.A.N.V. :

Tous les 1ers lundis du mois, jours de jeûne et de réflexion pour le désarmement nucléaire de la France. En mars, ce sera lundi 6 mars à 14h00 à Dampierre. 

Au programme :

Les finances, et mise à jour des cotisations (n'hésitez pas à soutenir cette association par vos cotisations (10€) ou dons.

Le point sur les Ginkgos bilobas : 

Quelle proposition ​aux candidats à la Présidence sur l'armement nucléaire.

2ème volet de conférence : L'Islam vu par Paul CLEMENS.

Echange sur nos ressentis et réactions après la visite de Fadila Semaï.

 

A vos agendas !
A vos agendas !

Solidarité avec la Palestine

Conférence de Taoufiq TAHANI, le Vendredi 10 mars 20 h Salle Battant à Besançon

Quelle solution au conflit israélo-palestinien ? Taoufiq TAHANI, Président national de l'AFPS, interviendra sur la problématique "Un état ou deux Etats ?"

A vos agendas !

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