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26 janvier 2022 3 26 /01 /janvier /2022 13:32

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28 janvier 2020 2 28 /01 /janvier /2020 15:50

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Certaines personnes ont signalé ne pas pouvoir accéder à la lettre de Lulu témoignant d'une soirée de partage avec les amis brésiliens. Voici une nouvelle façon d'y accéder ci-dessous.... 

Ou un clic ICI

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22 août 2018 3 22 /08 /août /2018 15:30
Soir d'orage à Midelt

Soir d'orage à Midelt

Ce soir, j’ai appris un grand drame.

 

Dans mon beau Jura, à Dampierre, une fille de 11 ans a été tuée par sa mère. Sa sœur, blessée a été hospitalisée. Face à la stupeur, à la sidération, à l’incrédulité de cette nouvelle, les questions fusent dans ma tête. Pourquoi ?! Comment est-ce possible ?! Comment ont-elles pu en arriver là ? Comment une maman peut-elle en arriver à tuer sa fille ?

 

Je suis bouleversée. Les mots se bousculent.

 

Je pars faire le tour du monde me questionner sur la rencontre et le pardon entre nous, êtres humains, et aux portes de chez moi, je découvre cette terrible nouvelle.

Je suis effarée. Je prends conscience progressivement du drame de ce drame.

 

Les maux ont tués les mots, qui ont tué la Vie.

Ayant travaillé dans la protection de l’enfance, je sais que les maux sont parfois les nœuds horribles et solides qui tordent les mots et les empêchent de sortir ! Je sais que les sentiments étouffés crient davantage quand les liens du sang, si forts et proches, sont à la fois si conflictuels et éloignés par un fossé. Je sais aussi qu’avec un soutien, une oreille extérieure, une écoute qui se crée, les mots peuvent se dénouer, jaillir et se libérer, pour laisser exprimer la douleur. Puis reconnaître ce qui en chacun se joue. Se comprendre soudainement. Et avancer. C’est possible.

J’ai déjà pu vivre ces dénouements fabuleux avec des familles ! Je sais aujourd’hui que véritablement, c’est possible ! Mais je découvre ahurie que l’extrême inverse, malheureusement, est lui aussi possible. Aujourd’hui, je suis témoin comme tous les Jurassiens et les Français, que le manque de mots, de pas vers l’autre, peut créer une prison, qui devient enfer, et peut mener à la mort. Aujourd’hui, de manière dramatique, nous pouvons le voir entre une mère et sa propre fille.

 

Je veux vous lancer aujourd’hui un appel.

Le monde est là, maintenant.

Que tous ceux qui ont avec chance une certaine stabilité et sérénité dans leurs vies, puissent être des oreilles attentives et des cœurs accueillants aux blessures des autres. Nous ne pouvons plus vivre isolés et inconnus les uns des autres, entre nous. Entre membres d’une famille, entre amis, entre voisins, entre collègues. Nous sommes avant tout des humains qui vivons en Humanité ! Organisons des repas, prenons le temps de partager, osons téléphoner... Ne sous-estimez votre potentiel d'accueil, d'écoute et de soutien. Peut-être secrètement sauverez-vous quelqu'un.

Que tous ceux qui ont des pistes et des outils de dialogues les proposent autour d’eux, créent des espaces pour accueillir l’autre, des ateliers expérimentaux pour travailler à être acteurs de la non-violence ! Tant d’outils existent aujourd’hui ! Ils doivent être rendus accessibles à tous ! Développés ! Allez vous former et transmettez les outils que vous apprenez ! Les clés sont là, mais ne peuvent servir si elles restent sous le paillasson, pendant que dans la maison, tout explose et se tue, dans la prison dorée !

Car la maison devrait être un lieu de refuge, de bien-être et de construction pour chaque enfant et adolescent qui s’ouvre au monde ! Elle ne doit pas être le lieu de sa propre destruction et de sa propre mort ! Mort d’une famille détruite par le drame !

Pourquoi cette mère n’a-t-elle pas su trouver oreille attentive pour passer le relai avant ce drame ? Quelle détresse vivait-elle pour en arriver là ? Comment cette sœur blessée, dans sa chair et dans son âme, va-t-elle se réveiller et faire face à ce qu’il s’est passé ? Sans pouvoir revenir en arrière.

 

Nous avons des possibilités aujourd’hui de nous soutenir, de développer notre solidarité, de travailler sur la communication :

Il y a :

  • la Communication Non-Violente (CNV), pour apprendre à mieux se connaître, mettre en mots les maux, accueillir ses émotions, découvrir ses besoins, exprimer des demandes,
  • les Cercles Restauratifs, qui existent à Besançon et dans d’autres villes de France, qui sont des supports pour offrir des réponses puissantes à la résolution de conflit,
  • et tant d’autres outils encore, pour dénouer les nœuds, que l’on porte en nous, tel que l’EFT (Technique de Libération Emotionnelle) par exemple.
  •  

Ces espaces-là doivent se développer si nous ne voulons pas que des drames semblables se reproduisent.

Nous devons proposer ces outils dans les écoles, dans les collèges, les lycées. Que ces outils soient inscrits dans les programmes scolaires. Que les adultes, familles et professionnels soient mieux formés. Cependant, les instituteurs et professeurs, travailleurs sociaux ou religieux ne peuvent avoir à leur charge l'entière responsabilité de ce travail. Chacun, où qu’il soit, doit pouvoir avoir agir, se former et avoir accès à ces outils. Nous sommes tous acteurs de l’avenir de notre Humanité, de notre quartier, de notre maison.

Sans se sentir coupable, interpellons-nous à poursuivre le chemin et à agir à notre échelle, pour développer les liens, la communication, la rencontre ! Quels besoins cette mère n’a pas pu exprimer ? Quelles réponses aurait-elle pu trouver ? Comment aurions-nous pu l’accompagner ?

Il est urgent de remettre de la communication entre nous, et dans nos cœurs. Que chacun propose, invente, crée, et ose… Pour que des espaces de dialogues et de soutien s’ouvrent davantage… L’autre, mon frère, ma fille, mon voisin, ne doit pas rester pour moi un étranger.

Nous devons aller au-delà de nos peurs, déconstruire nos préjugés, et créer des liens de fraternité et de soutien entre nous. Aujourd’hui, mon voisin en a besoin ? Peut-être que demain ce sera moi. A qui pourrais-je faire appel dans ces moments-là ?

 

J’ai moi-même été effrayée de découvrir ma propre violence, là, à l’intérieur de moi. Avec et grâce aux autres, je peux avancer. Je peux accueillir ma souffrance sans la laisser m’envahir. Mais c’est un travail de tous les jours. Tellement plus beau et plus fort quand il est mené à plusieurs !

Ce soir, je pense à cette sœur, qui est en vie.

Je souhaite au plus profond de mon cœur, qu’elle trouve repères, soutien, écoute pour se construire à partir de ce qui est désormais son histoire, réussir à se relever pour l’avenir.

Quel chemin pourra-t-elle prendre ? Je lui souhaite de découvrir un jour le pardon. Seule possibilité de libération pour elle, dans sa propre vie. Et qu’elle témoigne. Qu’elle ose. Qu’elle trouve la force. Pour dire qu’il faut que ça cesse. Qu’il ne doit pas y avoir d’autres victimes comme sa sœur. Que pour cela, elle a besoin des adultes, bienveillants et soutenants autour d’elle, qui l’aide à apprendre à communiquer, avancer, se construire…

 

Nous ne pouvons pas rester seulement témoins d’un drame pareil.

Ce drame doit nous interpeller à agir et ouvrir de nouvelles portes, pour aller vers la « rencontre » vraie et réelle, pour dénouer les nœuds … Que ce drame nous pousse chacun à dénouer nos propres nœuds… et à agir autour de nous.

Pour que, par l’accueil des émotions

et la libération des mots,

des fleurs puissent germer et fleurir,

pour sortir des prisons.

Rachel Lamy

in Citoyens du Monde, Jardiniers de Paix

le 20 août 2018

Cet appel, ce cri est suivi du témoignage d'une maman ayant connu la détresse
 

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10 janvier 2017 2 10 /01 /janvier /2017 13:24

23.09.2016

 

Retour de Midelt, au Maroc. Envie d’écrire…

Par où commencer ?…

Par ce qui est doux quand on est dans un pays musulman…

 

L’appel du muezzin me provoque toujours une émotion intense : au monastère, parfois je l’entendais pendant l’office où nous étions en train de prier. J’imaginais alors les musulmans aller à la prière et je rêvais que leurs prières se mêlent aux nôtres… Quelle belle image… Parfois je l’entendais en étant dans ma chambre, le soir, ou quand nous étions ensemble à discuter en petit groupe, dans la cour intérieure ou dans le réfectoire. Parfois j’avais envie d’aller directement à la mosquée me joindre à eux, me rappelant dans mon for intérieur, la fois où cette femme en Malaisie, m’a accompagnée pour que je puisse prier avec elle, à la mosquée… Je me souviens… Que d’émotions dans nos regards partagés, une fois la prière terminée. La prière se poursuivait encore en secret je pense, dans nos cœurs, souhaits de vie pour l’une et pour l’autre. Deux inconnues en communion totale dans le profond de leur cœur. Parfois j’ai envie de retourner prier avec eux, nos amis musulmans, pour retrouver cette force et cette union.

 

Le matin où mon papa a été malade, quelle ne fut pas mon émotion quand, dans toute mon inquiétude, étant retournée dans ma chambre prendre quelques affaires, avant de partir à l’hôpital, j’ai entendu l’appel à la prière…

 

Les musulmans allaient prier pour moi, pour nous, c’est cela que je ressentais au plus profond de mon être, en lien avec tous les amis musulmans de notre beau voyage. Comme s’ils étaient connectés à nous, sans ne s’être rien dit par la parole, et que nous allions prier ensemble. C’est comme si cet appel à la prière, interrompant mes tourments, me rappelait : « Tu sais ce que tu as à faire ! Je suis là pour vous ! Et à travers vous. Vous êtes là pour vous soutenir entre vous. Vous êtes tous frères. » C’est comme si cet appel me rappelait que la seule chose qui restait à faire était de prier, en communion les uns avec les autres.

 

Ce qui me marque chez les musulmans, c’est cette confiance et lâcher-prise totale en Dieu. Ils ont cette reconnaissance éternelle, que nous avons il me semble beaucoup perdu : reconnaissance pour ce qui fonctionne, reconnaissance d’avoir notre famille, nos proches, notre santé, d’avoir notre travail, notre maison, nos amis…

 

Un sourire, toujours, et cette douceur dans le regard, relié à Dieu en disant : « Hamdoulah ! » « Grâce à Dieu, tout va bien ! ». Ça, je l’ai encore découvert chez Fatima, ses filles Nadia et Marya de 19 et 29 ans, chez Addi le mari et père, qui tient le café, et leur fils Mehdi. Quelle énergie et quelle douceur ! Dans l’ouverture et la simplicité. J’ai été tellement marquée par cette joie profonde en chacun d’eux que j’ai exprimé à Nadia mon étonnement et mon émerveillement de tout ce qu’ils dégageaient dans leurs yeux et dans leurs rires, avec sa famille. Je trouve des étincelles dans leurs yeux, une force et un bonheur profond et immense ! Une confiance et une Reconnaissance ! Nadia les yeux pétillants et en riant m’a dit : « C’est grâce à Dieu tout ça, oui ! Il nous comble de joie, moi et ma famille ! Hamdoulah ! On a beaucoup de chance, oui ! » Et elle continue de rire ! Quelle incroyable beauté cette famille ! Surprenant !

 

Inversement, quand ils parlent de l’avenir, de quelque chose d’incertain ou de l’amélioration de la santé de quelqu’un : « Inch’Allah » rappelle toujours que l’Avenir est dans les Mains de Dieu : « Si Dieu le veut !»

 

J’aime cette formulation qui rappelle que nous n’avons pas le pouvoir sur tout comme nous aimerions parfois. Que tout ne nous appartient pas. Accepter que ça nous échappe. Dans la confiance cependant que ça peut s’améliorer, car Dieu peut faire de grands miracles ; ou dans la confiance que si ça ne s’améliore pas, une force venue d’Ailleurs pourra incroyablement nous aider pour traverser tout cela. Une force qu’on n’estime pas sans l’avoir connue.

 

« Inch’allah » nous ramène à notre Nature d’Homme, dans nos fragilités et notre grandeur, si l’on accepte de recevoir ce qui nous est donné, à travers le Lâcher-prise et l’accueil tout à la fois de l’extraordinaire venu d’Ailleurs !

 

Le troisième mot, qui est celui qui m’est venu en premier auprès de papa à l’hôpital de Midelt est « Bismillah ar-Rahman ar-Rahim ». Comme une demande, pour le soigner, le confier entre Ses Mains et qu’Il agisse du mieux possible pour sa santé. Etrangement, je n’arrivais à prononcer que ces paroles, alors que le reste du temps, je n’arrive pas à bien les formuler. Je le disais sans crocher, sans balbutier, ça sortait tout seul et en flot… Incroyable cadeau encore de Notre Dieu, Allah, à tous …

 

Bismillah est aussi une manière de confier de manière générale nos actions dans les mains de Dieu, tout en reconnaissant ce qu’il nous donne. On peut ainsi le dire avant de manger, avant de conduire, ou en rentrant dans une maison. C’est une relation encore, avec Dieu, pour signifier qu’il est avec nous au quotidien, en reconnaissant sa Présence, en étant en communion dans nos actions, avec Lui.

 

C’est d’ailleurs par le mot « Bismillah » que frère Jean-Pierre Schumacher a commencé notre Rencontre. En confiant ce partage aux Mains de Notre Dieu, Dieu des Hommes.

RL

Souvenirs d'un voyage au monastère Notre-Dame de l'Atlas à Midelt
Souvenirs d'un voyage au monastère Notre-Dame de l'Atlas à Midelt
Souvenirs d'un voyage au monastère Notre-Dame de l'Atlas à Midelt
Souvenirs d'un voyage au monastère Notre-Dame de l'Atlas à Midelt
Souvenirs d'un voyage au monastère Notre-Dame de l'Atlas à Midelt
Souvenirs d'un voyage au monastère Notre-Dame de l'Atlas à Midelt

Souvenirs d'un voyage au monastère Notre-Dame de l'Atlas à Midelt

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5 janvier 2017 4 05 /01 /janvier /2017 10:07

Roberte est le maillon central de la visite de Fadila dans le Jura. Voici ce qu'elle écrivait au retour de Midelt le 21 septembre 2016.

 

Avant la projection du film « Des hommes et des Dieux », je ne connaissais pas l’histoire des moines de Tibhirine. Je suis très touchée par ce qu’ils ont vécu et j’ai cherché des livres les concernant pour mieux les connaître et comprendre.

 

Ce départ pour Midelt, je l’ai préparé spirituellement car je voulais partir en essayant d’être dans « l’esprit de Tibhirine » et c’est comme cela que j’ai découvert « L’ami parti devant » de Fadila Semaï. Je l’ai lu avec beaucoup d’émotion. J’en parle à Lulu qui me dit « Ecris-lui ! ». Ce que je fais, et je lui propose une rencontre avec notre association ADN-MANV. Peu de temps après, elle me répond. En voici quelques lignes :

« Vous me parlez de votre désir de vous préparer spirituellement à l’esprit de Tibhirine. Si je peux me permettre, voici comment : « Se tenir pauvre devant l’autre, se laisser ‘déranger ‘ et toucher ». C’est selon moi une voie privilégiée pour chaque rencontre. »

 

A ce jour, j’ai écrit une autre lettre, qui est partie de Midelt, car elle me dit qu’elle serait favorable à l’idée de nous rencontrer. Je lui pose alors la question : « Comment allons-nous pouvoir nous organiser avec vous pour la rencontre : frais de voyage, séjour, et organisation ? » (voir l'annonce des rencontres sur le Jura avec Fadila pour la 2ème semaine de janvier 2017)

Roberte, Fadila, et les moines de Tibhirine
Roberte, Fadila, et les moines de Tibhirine
Roberte, Fadila, et les moines de Tibhirine
Roberte, Fadila, et les moines de Tibhirine

Me voici à Midelt. Durant ce séjour, j’ai vécu des moments très forts. Pendant les journées, j’ai pris le temps de réfléchir et me ressourcer, lire et méditer.

 

En allant aux offices monastiques, j’ai aimé ces moments de prière, de silence, de chants. (Frère Antoine, lorsqu’il chantait, donnait l’impression de chanter et danser avec son corps. Très impressionnant !)

 

Je pensais souvent à ces frères moines assassinés, et je les portais dans mon cœur, et j’essayais d’être en communion avec eux et le Christ.

Lorsque j’entends le muezzin, je pense à frère Christian, et à l’ami algérien (parti devant) et à ce moment-là, je ressens beaucoup d’émotion, de cette relation entre chrétien et musulman.

 

Quelle joie et quelle émotion de rencontrer frère Jean-Pierre (rescapé de Tibhirine). Nous avions rendez-vous dans la salle du mémorial de Tibhirine. Nous étions assis près de lui. J’étais intimidée et respectueuse devant un tel homme. Un homme doux, calme et qui dit n’avoir jamais ressenti de haine pendant et après le drame.

Plus tard, j’ai eu l’occasion pendant un court instant de me retrouver seule avec lui. Nous parlions de Lulu et de notre équipe qui était en train de faire du jus de pommes. Il était heureux et émerveillé. Puis en discutant, je lui avoue qu’en moi, j’ai beaucoup de peur, et de pouvoir donner sa vie comme ses frères et lui l’ont fait, je ne sais pas si je pourrais !

« Nous aussi, on a eu peur, me dit-il, mais il faut garder confiance, et si nous gardons cette confiance, le Christ sera là jusqu’au bout ! »

Roberte le 21/092016

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Présentation

  • : Lulu en camp volant
  • Lulu en camp volant
  • : Lucien Converset, dit Lulu est prêtre. A 75 ans, il est parti le 25 mars 2012 avec son âne Isidore en direction de Bethléem, où il est arrivé le 17 juin 2013. Il a marché pour la paix et le désarmement nucléaire unilatéral de la France. De retour en France, il poursuit ce combat. Merci à lui ! Pour vous abonner à ce blog, RDV plus bas dans cette colonne. Pour contacter l'administrateur du blog, cliquez sur contact ci-dessous.
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